Waw ! On dirait mon portrait craché sur un trottoir ! Vraiment, quelle puissance de feu ! Il faut que le lecteur puisse s’y reconnaître, c’est ça ? Eh bien c’est réussi !
Heureusement que l’écrivain et le lecteur sont loin du reflet des mots qu’ils s’inventent sinon, « Vanités des vanités… », tout ne serait que vanité.
Quand l’ imagination se tord pour donner ce genre de texte sardonique à souhait, le diable boit du petit-lait ! Et l’ange devant se sent lapidé injustement. Mais bien fait pour lui, il a pas besoin de jouer avec le miroir aux reflets, dont le mode d’emploi est écrit en chinois et qu’il tient sans doute à l’envers.
(non, les anges ne parlent pas chinois).
Le coup de la panne du bousier-Sisyphe, bon sang ! Tu me le donnes celui-là, dis, s’te plaît, allez ?
Une sagesse incrédule dans ses atours de justicier et pourtant dupée au bout du compte, l’ antique tromperie de nos existences exposées, voilà ce que je trouve dans ton poème.
Bravo filo ! Du haut de gamme comme dit jim, dont les coms me semblent clairs.
Et les miens ?
Salut,
Sauge