Après quelques jours je tombe sur ton texte, posté en lien avec le mien (Cet oeil qui me regarde) et... oui, il y a des liens, mais le tien me semble beaucoup plus abouti, emprunt de cette plume à la fois nette de savoir et indéfinissable par tout ce qu'elle offre à nos âmes suspendues...
J'ai particulièrement aimé :
- "Parapheras-tu cette fois le déni infini d'une idée définie et inédite" pour ce qui me semble être des allitérations, mais j'apprends encore, serais-je dans l'erreur ?? Enfin j'ai aimé ces consonnances ;
- "le regard rond du zéro s'écoule de haut en bas comme une lente flaque d'huile"... parce que voilà.
Merci à toi, simplement, sincèrement.
Cath