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"Vous
m’êtes doux comme un drap d’écume à rouler mes rêves dans le ressac de
vos gestes. Vous m’êtes indispensable, vous m’êtes précieux, vous
m’êtes unique. Vous êtes la noce du feu et de la glace, tendre,
violent, intense. Vous m’éveillez à vous. Vous me faites je."

Dans ce fleuve incroyable de mots, de sentiments, de ressenti, d'immense sagesse et de folie encore plus immense, je retiendrai ça...

Comme je te l'ai dit sur ton blog, ce texte compte beaucoup pour moi dans ce que tu as écrit, et il est particulièrement puissant à mes yeux, je ne me répèterai pas ici.
Mais je regrette que tu n'aies pas corrigé les retours intempestifs à la ligne dûs au copié/collé. On pourrait même se demander si ce n'est pas volontaire, genre pour faire poème surréaliste, mais on voit bien que non.

Non non, il s'agit bien de retours voulus. J'écris sur word, puis je copie-colle et vérifie qu'ils y sont bien tous. C'est marrant ça, je remarque que j'y suis autant attachée qu'au choix des mots. C'est un signe. Je pense que c'est parce que ça correspond à des temps ou des interprétations que je mettrais, si je le disais sur scène.

A vous, merci.

Etrange. Alors, je n'adhère pas à leur répartition, contrairement au fond du texte.

Ben c'est normal. Je viens de regarder, les espaces ont planté. Je ne sais pas pourquoi. Bon. Je rerentre dedans, et je remets de l'ordre.

filo, tu vas être content. Moi aussi.

Comme une rivière de sable...
J'ai été emportée.

Haaaa... Là je suis d'accord, j'adhère, je stick, j'astique, mystique, j'artistique!...
heu... désolé.

En voilà une bonne nouvelle. Et... tu fais tout ça à la fois ?

Filo, multifonction...
Je préfère aussi ton texte arrangé de cette façon. Il est de toute façon complétement fabuleux. Si si...

Emportée par ce maëlstrom de mots, d'émotion, de ressenti..."Vous me faites JE".
De quoi enfin oser être "Je".

je me suis arrêté sur le pont et j'ai regardé couler le fleuve un jour de crue. Il charriait des couleurs et des tourbillons, des arbres et de l'écume, une eau terreuse ou claire...j'ai eu du mal à rentrer à la maison et me suis retourné bien des fois pour ne pas le quitter des yeux...il faudra que je revienne demain.

L'attention de votre regard me donne l'envie d'écrire encore. Pour vous.
Morgane, Je est primordial. Sans lui, nous ne serions qu'un légume.
Geho, il est des regards qui ne s'oublient pas. Le tien me parle. J'y plonge.