Bizarre, ces derniers temps, j'ai du mal à assimiler les textes, je suis obligée de lire, revenir, digérer, avant de pouvoir en tirer autre chose qu'un sentiment à vif.
Ce texte me rappelle bien des choses de mon métier. Hélas. Que de monstres ordinaires, que de tyrans dissimulés derrière des visages banals, que de douleurs ensevelies. Parfois, elles osent hurler, et cela donne... quelque chose comme ton texte.
La liberté.