Curieux, moi je ne m'en rappelle plus (et non, je ne perds pas la tête...)
Pourtant, je suis touchée par cette plainte plus océane qu'aérienne, profondément touchée par cette communion des élèments, par cet universel qui rejoint l'expérience personnelle, par cette immensité qui se focalise sur le minuscule instant de désespoir, pourtant lui même plus vaste que l'océan... tout s'entrelace avec subtilité et fluidité.
Je pourrais en dire tant et tant sur l'émotion de lire un texte comme celui-ci. Je sais que tu préférerais une critique plus constructive, mais je n'ai pas de restriction à formuler. C'est à la fois profondément sincère et intime, tout en montrant la maitrise et l'élégance de ton écriture.
Je t'ai dit que j'aimais ?