Les grands carreaux oublient
Les effusions de sens
Par le chemin ouvert
Des fausses vérités
Où les couleurs foudroient
Les appétits morbides.
Le blanc s’est élevé
Dans ce terreau de ciel
Pris dans le lien binaire
D’un élan tendanciel
Où les circonférences
Embourbent les possibles.
La pluie se fait misère
Par ce trait délavé
Et creuse des ornières
Dans ces sillons défaits
Où souffrent les ramures
Des arbres moribonds.
Le temps s’en est allé
Rajeunir sa présence
Digérant ces oublis
Décomposés de vie
Et passe un brun terreux
Sur ces corps ravinés.