Les enfants perdus me font toujours penser à Peter Pan...
En tous les cas, ton texte m'a fortement impressionnée. On rentre dans cette histoire comme dans un conte éternel et sans âge, suspendu à ce qui va advenir.
Une mention spéciale pour "nombril d’un monde englouti" et "déchirés comme les pages d'un livre maudit".
Un petit bémol sur le mot "infâme", que je trouve un peu trop fort ou emphatique.
Mais que ça fait du bien de lire ce texte !