Très original, un ton indéniablement moderne qui nous transporte dans les entrailles de la ville.
J'aime beaucoup la dernière strophe, qui éclaire le tout, et surtout : "comme sous l’épiderme de cet après midi".
J'aime beaucoup aussi : "les murs inclinés du métro
où fleurit la poésie printanière".
Sinon, as-tu voulu écrire "je n'arrive guère à fendre" ?
Un style personnel et intimiste, qui me plait toujours autant.