Les tableaux des réalistes ne me parlent pas

Les tableaux des réalistes ne me parlent pas


des photographies en noir et blanc sur lesquelles
tu tournes le dos à peine visible
de loin - celles-ci sont les plus fidèles
ma mémoire est gênée
quand tu te disperses dans les détails
alors tu deviens la trace
de rasoir la trace
d’un regard d’une ride
sur le front une boucle de ceinture
tu te dérobes à ma vue

le flou se capte avec l’agitation

Etrange! Plus je le lis et moins j'y vois clair...
Merci!

Souvenir, souvenirs...Qui se dérobent ?

Comme Margo, là je dois être fatiguée mais je n'arrive pas à discerner ce que tu veux dire. Surtout, cela parle moins à mon coeur que tes autres textes. Un peu obscur, peut être, et il m'a manqué le petit élèment prosaïque qui fait ta "patte".
Mais la dernière phrase est en elle-même tout un poème et une réflexion, et ça, j'ai adoré.

Pour ma part, je voulais plutôt dire que le but était atteint!