Quel titre étrange.
Son absence de poésie renforce je trouve l'aspect austère, comme si tu refusais de te laisser gagner par l'émotion, comme si la pudeur retenue de ce bouleversement le rendait encore plus évident.
Les espaces que tu utilises comme une suspension, une respiration qui devient de plus en plus ample, font beaucoup dans la force de ce texte.
Je trouve cela très beau et mystérieux ("J’entrevois la pierre sans nombre"), voir mystique ("Le lieu sort enfin de l’absence.")