Il semble que le train soit un vecteur d'évasion non seulement physique, mais aussi mentale, et surtout de rêveries profondes.
J'aime ce texte, il m'amène sur les rives oubliées de communes pensées, de complicité.
Un léger bémol pour cette phrase : "Porte à nouveau, offre ses fruits", je trouve que les deux verbes alignés et la ponctuation cassent un peu le rythme si fluide du poème.
As-tu écris ce texte récemment ? parce que je trouve une évolution vers une certaine libération dans ton style, tu écris comme dans un souffle, une respiration.