Tu as bien fait, Margo.
C'est vrai qu'on s'ennuyait un peu avec Godard, mais ce qui est dit me parait d'une telle poésie. En fait, je préférerais le lire que de le voir. Ces films "datent" effectivement beaucoup, mais ce dont il parle n'a pas d'âge.
"J'allais vers toi, j'allais sans fin vers la lumière"
Ces longs monologue me rappellent "Les ailes du désir", un film qui m'avait intensément fascinée à sa sortie, et sur lequel j'avais beaucoup rêvé.