Cela ressemble un peu à l'axiome : dans un voyage, ce n'est pas la destination qui est importante, mais le chemin que l'on parcourt.
Et tu as raison, Lucaerne, c'est à la fois étrange et terrible de trouver sa vérité. Cela suppose qu'on a atteint le bout du chemin, et pour moi, arrêter de chercher reste une chose éminemment dangereuse. Voire un aveuglement. S'arrêter, c'est tomber. Perdre sa curiosité, c'est se perdre.
Je ne parle pas d'hyperactivité, il est nécessaire de se poser parfois pour réfléchir profondément à ce qui s'est passé, à la suite que l'on souhaite donner.
La digestion d'informations reste pour moi un moment de calme nécessaire, mais le calme d'un étang cache souvent une lente fermentation indispensable à la vie.