L'arbre et l'oiseau

Un saule hérisson se creusait d'ennui
Un hiver de plus lui entamait l'avoir
La mésange bleue au creux de la nuit
De ses brins de paille y tressa son nichoir
Et le saule et l'oiseau partagent l'espoir.

Ou comment le saule n'est plus pleureur!

Tout petit, tout tendre, comme un conte miniature.
Mais je crois que j'aurais marqué "Et le saule et l'oiseau partagèrent l'espoir".

ben non, chère Constance, ici le présent renforce la certitude du fait: à deux on n'est plus tout saule!
noyeux joël à tous!

Et bananier !!!

En même temps, le saule reste saule et la mésange bleue repartira aux mauvais jours. Ce qui fait que je partage l'avis de Constance, pour un instant forcément éphémère.
L'un à des racines et l'autre des ailes. Aaah... ça me rappelle Out of Africa... Robert... snif...

Pour moi, les deux collent et j'ai aussi beaucoup aimé lire ce petit bidule très tendre.
Merci Geho

c'est un jolie petit poème imagé... à croquer en bouche ! a dire !




(bon, moi, l'espoir j'ai du mal avec cette idée, mais je trouve que le présent ce tiens)

Comme un chocolat pour les fêtes.
Merci de votre gourmandise.
Pour la forme, je maintiens le présent, car on passe d'une situation passée au présent: il faut le marquer.

lulli a écrit:

bon, moi, l'espoir j'ai du mal avec cette idée

Garde le présent Geho : Lulli vient de trouver la réponse, perspicace Lulli... (je parle pour moi hein, pas pour Constance, me permettrais pas).