Aliénation

Très dur ton texte. Limite supportable. Surtout en ce moment.
Rien ni personne n'est tout à fait mauvais. Chacun est ce qu'il est parce qu'il en a besoin pour survivre...C'est quelquefois aux dépens des autres, pas vraiment contre.

Très dur, oui, mais je comprends.
J'ai fréquenté assez longtemps une personne qui s'apparentait plus à un produit toxique qu'à une âme aimante.
Mais il est de ces personnes comme des dieux anciens : si l'on n'y croit plus, si on n'y prête plus garde, si on délaisse leurs autels, ils finissent par disparaitre.
Voilà un texte plein de force et d'émotion.

Tu as raison Geho, personne n'est vraiment tout à fait mauvais, chacun survit comme il le peut. Reste que certains survivent au prix de la vie des autres, sans beaucoup de questions ni de scrupules. C'est comme ça.
Et comme le dit si justement Constance, il faut parfois savoir "délaisser".

Si le M---- est ce que je pense, j'aurais pu l'écrire aussi différemment, sauf que pour part, j'ai tellement de colère depuis des mois que je suis incapable d'écrire à ce sujet, incapable d'y penser sans pouvoir retenir les larmes. Et je me demande si cette colère s'évanouira un jour.
Constance a raison effectivement, quand une personne de son entourage est toxique et quelque soit le lien, il faut savoir partir avant de se laisser manger à petit feu.
Cet écrit est fort sauf que j'aurais aimé te voir aller au bout du M.

Au bout du Monde ?

Décidément on est tous Malades de nos M.....

Quand le "aime" se transforme en "haine", c'est terrible. ( et je parle pour moi)

Doooooon... y en a qui on juste un c.. de rhube (ça c'est pour boi aussi).
Sidon, les fabilles forbidables... bouai...

Tiens, je lance un dappel : je recherche un poèbe de Lorca sur ce thèbe. Je l'ai étudié au lycée et il b'avait époustoufflé. Bais cobbe à ce bobent-là, j'avais cobbencé ba fâcherie avec l'école (pour raisons fabiliales, la pauvre école d'y était pour rien), je d'ai pas retedu le titre.

Pas les titres de Lorca sous la main mais peut être un extrait de "la Maison de Bernarda Alba" qui va tout juste dans le sens de ton texte?
Ou "Noces de Sang", mais je cite de mémoire!

Pour le texte, je rejoins ce qui a été dit et surtout le " produit toxique" survivant au prix de la vie des autres.
Pour en avoir connu, je sais que le seul moyen de ne pas le laisser te ronger, c'est effectivement de l'abandonner au bord du chemin, avec, pour les autres un panneau "danger", mais ça colle ces saletés...
"Faisant comme si rien n'était bien réel", trés juste, les produits toxiques ne voient vraiment pas en quoi ils sont nuisibles!