Hé hé, pas mal, Bouriquette ! C'est bien amené et concis.
Moi aussi, je suis du genre à discuter de tout, à négocier, même dans les pires moments.
Je t'assure que quand la mort viendra, je l'étourdirais tellement de questions et de marchandages qu'elle risque de se casser vite fait trouver une cliente moins chiante...
Je dis ça, mais parfois, on n'a plus envie de négocier. Alors on saute. Mais j'ai bien aimé ce dialogue, très réaliste après tout.