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En te lisant, j'ai parfaitement visualisé.
J'aime particulièrement le "noir de geôle".

No matter who you are
no matter where you go...

Naît la danse chaloupée
de l'insoumission



J'aime tout le vers : "Aux courbes d’un rouge sang d’un bleu pétard d’un noir de geôle". Et la répétition de "mur de tôles aux graffitis urbains" qui me donne l'impression de retomber toujours sur ce mur, où que j'aille.

(cependant... j'aurais préféré "Et de sa peau café qu’inonde l'insolence", mais c'est seulement au cas où on me demanderait mon avis... pis j'ai un peu honte sur un aussi beau texte... mais je suis chiante j'assume )

Déjà commenté.
Je l'ai relu, décidemment j'aime tourner autour de ton mur de tôle aux graffitis urbains !

Merci les Vous !

Lucaerne, bien vu ! Je me le note dare dare. Merci pour la pertinence de ta suggestion !

J'avais déjà vu cette vidéo, qui à chaque fois me fait monter les larmes aux yeux, mais de bonheur.
Ton texte va là, droit au coeur, avec son rythme propre et sa pulsation, avec autant de musique que de mots.
J'aime, et j'aime surtout cette dernière strophe.

L’insoumission – quel beau titre ou sous-titre cela pourrait
être. J’aime la dimension de ton poème, sa pulsation de couleurs,
le dynamisme des images.
Les mots « bombés par des mains anonymes » inscrivent plus qu’on sait discerner.
Un texte de valeur, bravo !
Solweig