Le verdict.

Dérangement
sur la ligne.
Fils épars.
Programmes éclatés.

Une onde coule sa main.

Berceuse aux pieds d’or

tu m’emportes loin des rives
loin des murailles
plantées
dans la chair vive

et qui nous rongent
jusqu’au crâne.

J’enlève la boue de mes yeux
et l’Edifice tombe.

Je vis, vois-tu ?

oui, nous voyons.

C'est très clair et je te voie amie Margo.

"Qui nous rongent jusqu'au crâne", très belle formule !

Et un jour il n'y aura plus de boue !

C'est comment Margo, "loin des murailles plantées dans la chair vive" ? Encore une belle émotion en tout cas, merci, mademoiselle la vie !

C'est "des fois", comme un grand frisson et le ciel tout étoilé dans le coeur.

et une berceuse aux pieds d or?....

La lune, peut-être ...