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Eh oui, la coupe est pleine d'avoir trop contenu !
Bois tranquillement Romane ou refuse qu'on remplisse ton verre. (je sais c'est facile)
Ras- le -bol bien formulé, même s'il est parfois dur à lire dans la mesure où on se demande dans quelle mesure on peut communiquer sans importuner, s'ouvrir sans étouffer l'autre...entrer en contact revient toujours à mettre un pied dans l'espace de l'autre. Est-il réceptif, a-t-il suffisamment donné aujourd'hui, faut-il le ménager, l'inviter à parler ?
Parfois j'essaie de voir les personnes égocentriques telles qu'elles sont sans ce défaut qui parle si fort à tort et à travers...ça aide à les supporter et permet de voir sur quels plans on peut échanger sans se faire "bouffer".

Le problème, c'est qu'on est tous "le con" de quelqu'un.

Ne vous bilez pas, les filles ; c'est Gainsbourg qui m'a inspiré ce p'tit texte. Bon, les cons aussi.

Voilà qui est bien dit.
Nous avons, pour beaucoup, connu ce genre de situation, et de personne. On apprend un peu, si peu hélas, à se protéger : parce que l'humain nous passionne, après tout, et qu'il faut faire la différence entre soutenir une amie en détresse, même si c'est lourd parfois je l'avoue, et éloigner les gens vraiment toxiques, ceux qui ont pour sport principal de nous pourrir la vie en dévorant notre espace vital.
Je garderai soigneusement ce texte, histoire de me rappeler de temps en temps que je ne peux pas non plus être le soutien de tout le monde.

Eh bien ma foi, ça cartonne du côté de l'océan! Bel envoi...on va tâcher de s'en inspirer.

Aïe ! Ça sent méchamment le vécu, là...
Coup de gueule, donc.

Ben oui. On peut dire ça comme ça. Un truc qui remonte à... (je calcule...) une trentaine d'années, un peu plus, je crois.
Mais ce n'est pas ce qui a inspiré ce texte.

Une trentaine d'années et ça sent encore la peinture fraîche. Je sais maintenant pourquoi je n'ai ni service en porcelaine ni rideaux. Mais je partage aussi ce que dit Garance. Il est difficile parfois de trouver le juste équilibre.