Des frissons aussi, et les larmes si proches sur les derniers vers. Cette façon d'entremêler le quotidien tranquille aux tragédies les plus sombres. L'humain est si petit et tu le dis si bien.
Juste un bémol : ce "on" qui "entame" le troisième vers. ("On" va reprendre ici la discussion des LU sur le "on".) Mais, quel que soit mon avis sur ce mot de plus en plus usuel dans notre langage parlé, il est ici un peu trop claquant à mon goût.