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Où le deuil de "l'avant" s'échappe en mots.
J'aime l'ironique "podium des médaillés d'amour" qui vient réchauffer la tyrade glacée.
merci, Ro
Mick

Réminiscences. Faut bien se laver le cerveau de son lavage.
Merci de ton passage, Mick.

Bizarre, ces derniers temps, j'ai du mal à assimiler les textes, je suis obligée de lire, revenir, digérer, avant de pouvoir en tirer autre chose qu'un sentiment à vif.
Ce texte me rappelle bien des choses de mon métier. Hélas. Que de monstres ordinaires, que de tyrans dissimulés derrière des visages banals, que de douleurs ensevelies. Parfois, elles osent hurler, et cela donne... quelque chose comme ton texte.
La liberté.

En réalité, si on pouvait faire un sondage fiable et entier, on s'apercevrait que la violence est omniprésente. Bien plus que la sérénité.

On a tout entre les mains pour être heureux, bêtement heureux, simplement heureux, et on se fout dans une merde noire à tout bout de champ, pour des broutilles. Moi, ça me scie, cette capacité destructrice.

Je les emmerde, tous ceux là. Désolée, fallait que ça sorte.