Terre des espoirs

Ce texte mérite vraiment que l'on s'y attarde. Il exprime une idée certes déjà abordée, mais avec une douceur de ton et une belle lucidité. Des expressions fouillées également, j'aime bien l'ensemble.
Mention très spéciale pour la 4è strophe.

Faut-il l’attendre, ou bien entendre

dans la présence du souffle, du geste, du mot

les rumeurs qui percutent l’instant ?

Aujourd’hui est l’écho de demain

La fin me plait beaucoup également, mais as-tu voulu écrire "l'amour en sol" ou "en soi" ?
Juste un truc : tu pourrais écrire un peu plus gros, ce serait plus confortable pour la lecture. Merci m'dame.

Il y a une idée autour de laquelle je tourne...

En ce qui concerne le dernier vers, je ne sais pas s'il est de bon goût. Peut-être n'ai-je écrit qu'un double jeu de mots douteux ?
Idée d'attraper les phalènes, que j'identifie à des akènes, et de les planter dans le sol fertile de l'amour en soi (donc raccourci ; amour en sol.)

J'avais terminé le poème ainsi dans un premier temps :

Aimer pour rien
Rien qu'aimer

Saisir l'amour en soi


Quand je fais copier-coller le texte apparaît petit, si j'agrandis les caractères, ils deviennent trop gros et le poème se transforme en un pavé inesthétique.
Alors ; confort ou esthétisme ?
Je laisse le choix aux lecteurs, que je remercie.

Garance

J'ai lu ton texte comme une voûte, avec la strophe relevée par Constance comme clé. Celle qui suit aussi me plaît beaucoup.

"Saisir l'amour en sol", j'aime, même si j'aurais préféré l'idée de planter l'amour en sol. Mais c'est très subjectif.

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Du coq à l'âne : quand tu fais ton copier-coller, as-tu ensuite essayé de sélectionner tout le texte puis de cliquer sur l'icone en haut à gauche (les deux A barrés : "supprimer le formatage du texte") ?

a part les deux derniers vers qui sentent trop la rime pour la rime, j'aime ta façon de questionner le temps de la vie : jusqu'où oser se saisir des signes subtils du destin et tenter l'audace?
Clin d'oeil: oser les couleurs pures?

Les rimes ne sont pas là exprès mais je trouve qu'elles accompagnent bien le mouvement des papillons qui tournoient.
Mes questionnements Gého m'amusent, ils me poussent toujours plus loin avec enthousiasme...j'essaie juste de garder les pieds sur terre.
Oser les couleurs pures, j'y pense...une nuit j'ai rêvé de grands aplats de couleurs...comme c'était facile et comme le résultat était harmonieux ! Il va falloir, que je laisse les mots se reposer et que je reprenne mes pinceaux après les vacances !

J'adhère pour la 4ème strophe, et à l'idée...
Il faut oser!

Amour en sol peut se décliner en musique ou en plantation, planter des notes pour que le sol chante l'amour.

Juste pour la lecture, mais si tu passe en 12, pour la taille, ça le fait, même moi j'y arrive, donc c'est facile. Lol!

Bon, je passerai en 12 pour ménager la vision !

...comme je pensais sol, j'ai cru un instant que tu parlais du 12ème sous-sol !

C'est un si, alors...