Un monde entier se déroule, tour à tour poétique, insolent, sensuel, désespéré, non, pas désespéré, jamais tout à fait. Douleur, douceur et fièvre ? Tout le doliprane du monde n'y pourrait rien (tant mieux).
Des mondes entiers se dévoilent dans tes mots qui glissent, et accrochent.
J'aime particulièrement tes oiseaux "en pochoirs mouvants", et puis les "deuils des flambeaux déchus".
Entre autres choses.