L'amante

Scrogneugneu ! T'arrêtes de lacrymer !
Dans la 2ème strophe, à quoi se rapporte le verbe "comptent" ?
Dans la 3è strophe, ça manque de respiration. Les deux dernières lignes ne sont pas tellement reliées au reste de la strophe, peut-être pourrais-tu les scinder pour les mettre en valeur ?
Je ne sais pas, Soso, je trouve le rythme un peu haché, et malgré les belles images et des trouvailles très poétiques, ça manque un peu de cohérence.

"fleurs....comptant leurs pétales" sans doute....
rapport à l'orthographe, donc.
nez en moins, belle amante!
j'ai d'ailleurs connu un poilu ayant fait la Crimée...
il ne s'en est jamais remis....

j'aime !
merci, vestale!

oui voilà mick a vu juste, ce sont bien les fleurs qui comptent les pétales. Cela m'arrive souvent de ne pas mettre les pronoms, je ne sais comment l'expliquer.
Sinon, j'ai bien séparé les deux vers qui n'adhéraient pas à la strophe.
En fait, c'est un écrit sur l'amour que l'on peut faire sur une musique tant aimée, ici une étude de Scriabine en ré dièse mineur avec un grain de folie, de rêve, le fait aussi de s'approprier cette musique (opus imaginaire) et toujours conquérant (soupirs révolutionnaires). La dernière strophe aborde l'orgasme..

dialogue mélomanique:
Mick:
-le ré dièze mineur est à la folie ce que le la mineur...
Geho:
-est à la tôle?
Mick:
-non, est à la tristesse, voyons!!
la tonalité de l'extase orgasmique est correlative, elle, à la vivacité du mouvement.

je confirme, pour Scriabine
Mick (pardon, Vestale)

Un poème très onirique. Beaucoup de lyrisme, et de la
musique.


Une extase poétique.

Cordialement Solweig

J'aime bien l'art de nous faire pénétrer dans une dimension dont toi seule possède la clé

Citation :

Je suis l’amante du piano
il offre son aquarelle de cordes bleues
aux nuages qui ont étouffé l’azur

L'essence du poème me semble concentré dans ces 3 vers