Et quoi ?

L’ombre se dénude.
Son déshabillé sur le sol dallé roule, porté par le vent.
Le vent… il glisse, cède, trace.

Il a pris toutes les pierres.
Il a basculé mes étoiles dans la nuit.
Elles se découpent dans le ciel comme des ciseaux.

Elle déchire l’azur : la jeune fille aux ongles acérés.

Quel est le secret ?
Quel est-il, ce chant ?

Son décolleté dégrafé.

Comprendre ?

Trouver le point d’attache et tirer le fil, jusqu’au bout, jusqu’au jour.
Un homme pleure sur des ruines.

Et quoi ?

Bravo Margo !

Je n'ai rien à dire d'autre.

De l'ombre jusqu'à l'homme qui pleure, je te suis mot à mot et les images s'enchaînent.

Des mots qui emportent de l'ombre à l'homme qui pleure, sur qui, sur quoi?

la nuit n'est que l'attente du jour et tes bribes des clés pour l'imaginaire.

malgré tous ces questionnements, je trouve une grande force, une grande certitude dans ces mots.
Contente de ce passage.

Merci encore une fois pour vos commentaires.
Je sais que je ne suis pas trés prèsente en ce moment... et puis je n'ai pas le coeur à vous faire part de mes ressentis, même si je vous lis, si,si !
Ca reviendra.
En ce moment, je travaille sur un spectacle. Une création collective sur le thème des chansons de l'entre deux guerres. (Comme le savent certains, j'aime les vieux machins !)
Un truc sérieux avec un vrai metteur (metteuse) en scène et des vrais musiciens. C'est extra. En principe, c'est pour décembre !

Ca s'appelera : "Le cabaret zinc" .

Bises à tous.

Ps: Geho, ton livre est formidable et toi aussi... tu es trés beau !