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Il y a comme une grosse rage dans ce cri qui se refoule lui-même. Comme une rage de celle qui ne peut contrôler l'expression de sa nécessaire colère.
C'est fort et dérangeant.

Une scène de vie, des caractères qui s'opposent, ... Tant de cris meurent étouffés dans la gorge du tiers qui assiste, qui accumulent en silence.
J'ai adoré. Mon ressenti est très fort !

Une colère qui ne peut pas crier, explosif!

Ah oui bleuuuuuffant le truc ! ça vous prend dans ses bras, on s'y serait installé et puis vlan ! ça vous fiche une grande baffe en pleine poire !!!
J'aime ce style nerveux, ces répétitions et puis la succession des deux polices...
ça fait quelques semaines que je n'avais plus rien lu (because très très occupée)
C'est l'écriture d'un texte qui m'a fait rouvrir la porte du cercle et c'est ton texte que j'ai choisi.
Je ne regrette pas.
Tu m'as manqué la Ro'
Madame la Ro'
Sois en remerciée

Cela fait longtemps que l'on ne t'avait pas lu sur le Cercle, mais quel retour !
J'aime particulièrement la dernière strophe et surtout cette chute d'une grande intensité.

Je suis bien désolée de ne pouvoir être plus présente ici, prise dans le tsunami d'une période archi-comble, comme certains d'entre vous le savent. Mais entre deux spectacles et deux cartons, je puis venir vous remercier, chacun/chacune pour votre passage ici. C'est vrai d'ailleurs, que je n'écris pas souvent, en ce moment (sauf le théâtre, évidemment)...

Merci pour vos com', les Tous.

Il est riche ce cri étouffé. Riche et angoissant. Il donne envie de crier.

Ah, le silence...celui-ci est particulièrement angoisssant, il emprisonne l'être en-dedans de lui-même, alors que l'être n'aspire qu'à l'expression, à la réalisation, ou à la conscience du bien-être (mais dans ce cas il y a élargissement tout de même, de la perception)
On reconnaît le texte d'une personne pour qui la parole est primordiale ;
un(e) accoucheur (se) de mots.

"Accoucheur de mots" ... Marrante cette expression !