Une histoire totalement universelle, racontée pourtant sur le ton de la confidence, comme si tu murmurais tes mots à un ami venu t'écouter, à un inconnu à qui tu confierais ton coeur.
J'aime particulièrement : "à maudire les heures profanes...
à canoniser le jardin du premier rendez-vous
à paver d'or ta route jusqu'à l'horizon".
Disons que ton texte est un partage de douleur.