Un peu comme geho, peut-être le parallèle encre/sang qui est difficile à renouveler tant il paraît connu... mais la dernière strophe s'en sort mieux que les autres, et j'aime bien le ton "maussade et triste, mais plus maussade", la maussadité (ça existe ? ) ce n'est pas si courant en poésie... la tristesse, l'abattement, le désespoir, avec plus ou moins de grandiloquence oui, mais la maussadité, c'est plus rare.