Je l'avais d'abord écrit en quatre quatrains de quatre vers rimés de quatre pieds.
Je l'ai publié ici dans une forme dont je n'ai pas cherché de justification particulière à part celle-ci : chaque ligne se suffisait à elle-même, mise à part la coquetterie d'un saut de ligne entre grammaire et anatomie.
A y réfléchir, je garderais les quatre lignes pour dire aussi la continuité du trait dessinant sur la feuille. J'irais même jusqu'à ne faire qu'une phrase sans ponctuation.
C'est sûr que côté "respiration", la forme que tu proposes, Filo, se justifie.