J'aime l'ancrage dans l'actualité de ce texte, et je suppose que cette crise sanitaire va délier énormément de plumes à tous les niveaux, et que dans les années qui viennent, même lorsque (ou si) cette histoire sera terminée, elle fournira, à l'instar des guerres, une matière riche à l'inspiration, qu'il s'agisse de romans, de poésie ou même de chroniques autobiographiques.
Ici j'ai globalement tout, sauf peut-être deux mots : le titre, "durcissement", moins inspiré que le texte lui-même, et l'adjectif "mécanique" pour la platitude du vide.
En tout cas bienvenue ici Mili !