Ce qu'il y a de bien avec les textes de Margo, c'est que même quand on n'a pas la clef, ça coupe un peu le souffle.
J'y trouve encore quelque chose de vaguement organique et perturbant, comme une sorte d'avortement ou de fausse couche.
Heu, ne faites pas attention quand je dis des bêtises, mais je ressens cela de cette manière...