Constance (merci à vous trois pour votre visite et vos mots, ils me touchent), Constance tu es la deuxième personne aujourd'hui à me parler de la force presque insoutenable de ces mots. L'autre personne, tu la connais, c'est Claude, mon ami québécois, que tu as rencontré cet été chez moi.
Il m'a longuement questionnée, jusqu'au supplice pour moi, parce que je ne suis pas capable de répondre autre chose que : bien que je tente de leur donner la force de ce que je ressens, ils n'arrivent pas à en égaler l'intensité.
Cette fois, ce fut très dur à vivre. Je suis allée crier dehors comme une bête, parce que les mots ne pouvaient pas sortir, dans la violence des émotions que je porte en moi.
C'est un peu me livrer que d'expliquer ainsi, mais je n'ai pas d'autre moyen pour te dire...
J'ai appris à tout regarder en face.
Ceci explique sans doute cela....
Pas toujours facile à vivre, mais au moins, au moins, vivre vraies ses émotions...
Sans doute une des raisons pour lesquelles je vis en accordéon, dans un rythme qui n'appartient à aucun autre...
Merci de m'avoir lue, merci. Je vous embrasse.