Pfff, ce que j'aime dans la poésie en général, et dans ta prose poétique en particulier, c'est qu'elle traduit avec des mots d'une justesse infinie ce qu'on a au fond du coeur, au fond des tripes, et qu'on n'ose pas forcément, consciemment ou non, écrire, dire ou gueuler.
Alors ce texte, encore un truc coincé au fond de nos gorges que toi tu oses, tu oses...
Sinon, je n'ai pas plus apprécié que ça le "l'important, c'est la rose", ça fait un peu léger (dans le sens : superficiel) au milieu de tant de noirceur. Et puis "j'oublie peu à peu", je crois.
J'aime quand tu passes, j'aimerais encore plus de textes de toi.