Que d'espoir... je me sens profondément touchée par cette douce folie, cet élan foudroyé vers l'amour... balancer tout par dessus les ailes des moulins...
"J’ai défroissé ma robe de misère et l’ai perlée de soie
Dénoué mes cheveux dans l’ivresse d’un chant de liberté
Et parfumé le creux de mes poignets de pavots printaniers"
Aimer en fait, c'est vivre.
Je posterai un de ces jours ce que j'avais écrit là-dessus.