Ce voile
couvrant le corps
à l’intérieur de l’enceinte
saigne sa peau.
Elle crie.
L’image
d’une enfant-nuage
blanche de chair
s’impose,
elle réclame.
Que ce voile
retire la flamme
brûlante
de la mort.
Par le souffle, elle porte.
Que ce vent violent
transpose
l’image définitive
en noir,
sur le blanc.