« Quand un Emanglon respire mal, ils préfèrent ne plus le voir vivre. Car ils estiment qu’il ne peut plus atteindre la vraie joie, quelque effort qu’il y apporte. La maladie ne peut, par le fait de la sympathie naturelle des hommes, qu’apporter le trouble dans la respiration de la ville entière.
Donc, mais tout à fait sans se fâcher, on l’étouffe… » HM