Ils sont là, les immobiles.
Ils ne pleurent pas.
Ils n’ont pas.
Ils ne regardent plus,
ils voient.
Dans les plis d’une rivière
tout autour de nous riant,
ils voyagent.
Regarde-les frémir
sous le poids de l’ombre blanche
de tes paupières,
au flux d’une larme d’encre.