Un peu déconcertée par ce texte, j'ai du mal à comprendre ou interpétrer la fin (même à la lumière du titre).
Toujours cette misère collante, ces souvenirs gris, ces petites touches qui donnent toute la valeur à tes écrits ("...met une demi cigarette...", "...la grisaille charnue...").
Je trouve toujours cela intéressant, et profondément marquant.