J’ai le cœur lourd
comme une tombe.
Dans le jardin désoeuvré
qui scintille.
Elle est vide!
Traces-griffures déchirent l’espace.
Ferme les yeux.
Ta main,
perçoit
la forêt de l’indicible,
là,
de l’autre côté
tu penches,
à l’écoute de la matière même
de tes mots.
C’est ici.