J'ai beaucoup hésité à commenter ce poème, parce qu'il a provoqué en moins un malaise inexpliqué. Je ne pourrais expliquer pourquoi, mais il m'a rendue triste...
Je l'ai lu, relu, et décelé au fur et à mesure les subtilités de ce texte. Le travail d'orfèvre que tu as fait là mérite largement qu'on s'y attarde :tes strophes en miroir, la métaphore du feu qui revient sans cesse ("braises", "fumée sans feu", "âtre", "cheminée", "cendres"), le jeu sur les mots et les sonorités. Subtil et troublant. Mais triste.