J’ai mal aux eaux claires.
Leurs larmes titubent sous le soleil,
Ciel comme le sang de la mer,
Où voguent les fleurs escrimeuses.
Le tombeau a recraché les chrysanthèmes,
Nourris aux prières feintes,
Pendant la danse d’un été brûlé
Par quelques flammes défuntes.
J’ai encore mal au G
Dont le poing n’a jamais commencé,
Blessé dans la fuite du masque,
J’ai mal au seuil de ces rejets.
Le jamais a repoussé l’espoir,
Des amours mortes aux épaules,
Trop légères pour porter les cœurs.
L’absence perdue dans les deux pôles...