Quand les murs se rapprochent.

Aidez-moi ! mon amour.
Ouvrez-moi la porte des fleurs
des pluies rugissantes
des parfums

quand le cœur s’illumine.

Je ne veux pas mourir
dans la fosse
dévorée
par les bouches malfaisantes.

Ils tiennent mon corps
à présent,

les tenailles de l’enfer !

Ils me font voir la mort pâle
celle qui claque des dents

celle du cœur.

Aidez-moi, mes oiseaux, mes petits,
prenez ces mains
ce sang.

Que soufflent les mélodies
jusqu’au tréfond des poitrines cassées.

C’était juste une peur ancienne, n’est-ce pas ?

Le masque tombe à terre.
Sans bruit.
Comme une ombre.

Angoissant !

Ton écriture est toujours fabuleusement imagée. On la "voit". J'imagine ce masque qui tombe, sans bruit, au ralenti...

Par contre, la danse classique, pas fan. J'ai l'impression de voir une succession de figures figées, les sourires figés tout autant. Même si tu n'as pas choisie la pire, j'avoue, ça ne me touche pas.

Tu as raison Lucaerne, la danse classique, c'était pas une bonne idée. Allez, je la vire ! Merci à vous deux.

tu avais choisi quoi comme musique margotte?