Poésie=Marche.

Plat.

Demeure flanquée d’un fuseau.

Une enjambée et la Terre promise sépare l’avant-scène du point de chute.

Temps anciens, vous m’avez portée, comme des frères, et j’ai jeté la clef des songes.

La route se dépeuple et la pierre se déchire dans le grand silence du monde.

Je suis entrée « par principe » dans le tourbillon.

Le corps doit s’engager, lui aussi, sur la route, pour : sortir, un jour, totalement démuni.

Le corps doit s’engager, lui aussi, sur la route, pour : sortir, un jour, totalement démuni.

Le corps doit s’engager, lui aussi, sur la route, pour : sortir, un jour, totalement démuni.

C'est déconcertant. Je n'ai pas les clefs pour entrer dans ce monde, peux-tu nous en dire plus ?
Qu'on essaye de te suivre, au moins un peu, dans ta rêverie ?

Ce n’est pas une rêverie. C’est un témoignage de ce que je vis. Je pourrais expliquer mais alors il faudrait aller sur des chemins bien trop intimes et complexes.
Des clefs ? Disons que je suis aux prises depuis quelques temps avec ce qu’on nomme « le principe de réalité » et c’est tout ce qu’il me reste à en dire.
Peur-être qu’il ne faudrait plus écrire du tout, mais bon.
C’est mon chemin et peut-être que cela peut parler à d’autres…
Dans le cas contraire, merci de recevoir ces quelques mots, juste comme une petit musique étrange, la mienne. Merci à toi, Geho.

Je pense comprendre un peu certaines de tes pensées, un peu seulement. Mais ce qui m'a déconcertée, c'est la phrase répétée trois fois. Là je m'interroge.
je reçois cette musique étrange, comme tu le dis, toujours avec beaucoup d'intérêt.

Continue d'écrire Margo !
J'ai relu chaque jour ton poème, chaque jour il se rapprochait de moi...et la nouvelle ce soir de la perte d'un ami me laisse complètement démunie !