Moi, je n’ai plus rien.
Seule, dans l’alignement, je trace des courbes.
Pour le public !
Elle est lourde la tâche du clown.
Des bulles qui claquent dans le ciel multicolore !
Et le visage se déconstruit, à la barbe des élus.
Au premier rang.
C’est la fin du jour.
Les lumières s’emparent du plateau.
Y aller.
Prendre encore la parole, démesurément.
Ils rient.
Elle tombe.
Elle ne meurt pas, elle se consume.
J’ai trouvé ma mesure, ma place, mon écho.
Ma finalité…
C’EST LA GRANDE PARADE DES AMOUREUX.