Chaque strophe est un poème imagé.
...et les images...
les années usées par les heures, le déshabillé sexe et sang, le boudoir irréel de mes amours perdues suspendu dans l’air pâle (mention spéciale pour celle-là), le panier de fruits rouges, et la blancheur poreuse d’un rêve d’après-midi...
Bref, tout est succulent.