Les peaux tombent, une à une, dans l’herbe roussie.
La paupière bleue se dénoue.
L’heure se dénude, belle et droite, la voûte se dilate.
La guerrière est retrouvée, intacte, dans le jardin aux mimosas.
La mer pleure son miel.
Le ciel déserte ses plateaux de poudre.
A l’heure du repos, paume ouverte, le temps se partage les roses.