Assis dans l’ombre. La brise souffle,
Souffle tes derniers murmures
Avant que ne les emportent au loin
Ces rafales de querelles qui s’enchainent.
Que reste-t-il après l’ouragan de nos pleurs ?
Que reste-t-il quand on se brise le cœur ?
Alors reviennent toutes ces belles images
Eternelles sources d’amour quand tout est mirage.
ô douce, face à tes torrents ruisselants
Mes bras ne sont plus que barrages
Tentant de retrouver le calme.
Ton regard alors s’éclaircit.
Ravivant ainsi l’éclat de tes lèvres
A nouveau mouillées de baisers.
Allongés dans l’herbe. Le soleil brille.
Brille notre flambeau à nouveau rallumé.