Je viens de donner le lien de ce texte que je trouve fabuleux à plus d'un titre à Dehorian dans 'le vert'.
Ce texte illustre bien la liberté que l'on se donne dans le sens, dans les mots qui s'épousent entre eux, dans la liberté à les mêler, à les faire vibrer, se répéter, se répondre, s'exposer ou au contraire se cacher...
Au final je trouve beaucoup plus d'équilibre dans ce texte que dans un poème où chaque vers a le même nombre de pieds. Je m'y ennuie un peu, même si c'est très beau.
Est-ce que c'est ça évoluer ? Pour moi, oui.
Il est dans ton bouquin c'ui-ci ?
Parce que je l'apprécie au plus haut point.
Grand merci.