Ne sais-tu pas que je suis homme ?
Caché derrière ce visage assommant de tendresse … feinte.
Je suis le combattant à l’épée de feu.
J’ai des mots comme des lames et je saigne par ma voix,
le sillage femelle de tes vignes.
C’est ainsi que je vis, cloîtrée dans ma maison de verre,
Don Juan endormi dans le cœur d’une rose.