Ainsi s’accomplit par le jeu souple et délié d’une enfant claire, la fin du lignage maudit.
Sur la colline à claire-voie, la fumée noire disperserait, un temps, les restes ancestraux.
Par le petit chemin de source, elle court l’Enfant, et ses pieds nus recueillent dans l’herbe rouge, les terres précieuses dormant sous sa peau d’ébène.
Un pas, deux pas, une course jusqu’aux étoiles…et les roues du ciel s’illuminent comme un exilé de retour chez soi, dans sa maison, quand le monde parlait souviens-toi, le langage de l’Être.